Le maître et son élève

-Oui maitre! Je garde cette pièce propre. Après tout, c'est celle que vous m'avez confié!

Dit-il tout fier.

Anju garda le silence et continua de ranger les rouleaux et les livres, pensif. Quand il eut fini, un légé vertige le pris, l'obligeant a s'assir parterre, réajustent la couverture chaude sur ses épaules. Le jeune maître eut une petit quinte de toux puis soupira de découragement.

-ha lala... je suis minable, tomber malade dans un moment pareille! Les livres...une chance que je les avaient conserver! Sinon on serrait dans de beau draps! Même s'ils n'expliquent pas tout...tu sauras te débrouiller avec, Takeo?

Le jeune apprenti s'était précipité devant son maître. Il avait un regard triste de voir son maître dans cet état.

-Oui maître, je vous rendrais fièr!

Anju fu satisfait de la réponsse. Il resta la a retourner ses pensées pour voir s'il n'avait rien d'oublier d'important. Finalement il se leva et tirra un rouleau de la petite bibliothéque avent de se diriger sans un bruit vers le lit. Il fit signe a son apprenti de le rejoindre, une fois la chose faite il déroula le rouleau.

-Regarde bien tous ces sorts complexe, Jeune Takeo, tu dois tous les apprendres! Je vais te montré lesquelles pourait t'être important pour le tournois, le restant , je te les montrerais en temps voulu, nous ne sommes pas préser.

Il commenca a expliquer comment prononcer un sort sans être déconcentré par se qui vous entour, une seule pensser contraire a se que vous vouliez au départ et tout est fichu, il faut donc recommencer , si le sort ne vous a pas déja tuer ou totalement épuiser que vous avez perdu connaissence, il continua ainsi pendent plusieure heures. Au millieu d'une explication il bailla puis se passa une mains sur le visage et reprit son explication plus lentement, articulant mal ses phrases et parfois oubliai des mots ou restait quelques minutes a fixer le rouleau pour retrouver ses idée et essayer de se concentré plus et d'ignoré sa fatigue.

Takeo était très attentif à ce que Anju lui apprenais, cependant, il l'était encore plus vis-à-vis de son état de santé. il prononça tout bas,

-Anju-sama..

Puis il se prit dans ses bras et le transporta dans son lit qui était très propre et qui portait sa bonne odeur de jeune mâle vigoureux.

-Vous devez vous reposer!

Se sentant soulever et déposer dans le lit, le maître fixa son élève. Il allait protester puis dans un soupire se dit que sa n'en vallait pas la peine. Takeo avait raison, il était fatiguer et avait, malgré son rume, apris plusieur chose a son élève dans la journée se que le satisfesait pleinement. Il se coucha sur le ventre et se faufilla dans les couvertures et celle qu'il trainait depuis le début de sa grippe pardessu le tas. S'assurent que la couverture ne laissait dépasser que sa tête le jeune maître ferma les yeux en soupirant.

-Oui, tu as raison Takeo, un peut de repos ne me ferais pas de tor.

Content d'avoir pu être utile à son maître, Takeo allait quitter la pièce pour le laisser se reposer. Mais, au moment ou il franchaissait la porte, il pensa à un détail.

-Maître! Ne devriez-vous pas vous vêtir d'un vêtement plus compfortable pour vous reposer?? Je vous en trouverais un de ce pas!!

Puis, il fonca dans la chambre du maître et trouva un long chandail qui pourrais servir de jacket. Il revint dans la chambre et tira les couverture.

-Je vais vour aider..

Le maître regarda la porte par laquel était parti son élève et le vi revenir avec une de ses chemises. Quand Takeo tira sur les couvertures, Anju grogna parce qu'on lui enlevait son monde de chaleur. Il s'assir sur le lit et commenca a auter les nombreu collier qu'il avait et les déposas sur la petite table de nuit a côté du lit. Il enleva ensuite ses deux bagues et commenca a déffaire sa chemise en baillant, les yeux dans le vague.

Takeo réprima un rougissement^. À quoi ressemblait le corps du maître? Il chassa aussitôt ces pensées impures et monta sur le lit et se mit derrière le maître pour l'aider à enlever sa chemise. Au même moment, il humma ses cheveux.

-Vous utilisez.. un shampooing qui sent très bon, maître.

-Tu utilise le même non?

Baillant une seconde fois Anju fini par auter sa chemise, laissent voir une longue sicatrice dans son dos qui partais de son épaule droite et dessendait jusque dans le creu de ses reins. Il la cacha vivement avec ses long cheveux et se dépécha d'enfiller son autre chemise. Il enleva ensuite son pantalon et le plia lentement et fi la même chose avec sa chemise. Baillant une troisieme fois, il sétira et se recoucha dans le lit, nullement géné par le fait que son apprenti soit encore dans le lit, trop fatiguer pour le chasser.

Takeo, troublé de la si longue cicatrice, mit sa main sous la chemise de nuit de son maitre et du bout de ses doigts monta dans son dos.

-Maître...

Il se tut. Il voulait lui demmander ce que c'était, mais il jugea qu'Anju devait se reposer d'abord!

Frisonnent au contacte de la main froide de son élève sur sa cicatrice, le jeune maître auta rapidement la main trop aventureuse a son gout de sur son anciene blessure. Il la posa a la place sur son front, le rafraichissent en enttendent Takeo, il se doutai bien qu'il allait lui poser comment il savait procuré cette...blessure.

-Je te le dirrait demain..Takeo, aujourd'hui je suis lasse et j'ai besoin de repos. Comme j'utilise t'as chambre, tu peux aller prendre la mienne.

-... Oui maître.

Takeo attendit de voir son maître endormi avant de sortir de la chambre et de pénétré, pour la deuxième fois de sa vie, dans la chambre de son maître. Il s'étedit sur le lit douillet et s'y endormi.

Pendant la nuit, c'est en grellottant que le jeune maître se réveilla. Malgrer ses épaisseurs de couverture, il gelait comme un glacon géant. Il se leva alors, pris sa couverture et se dirrigea vers sa chambre, bien qu'il se doutait que peut être son élève allait protester de le voir la, il décida quand même d'aller se coucher dans son lit et, emitoufler dans sa couverture, se colla le plus possible contre le dos, chaud, de Takeo.

Takeo, surpris de la visite nocturne de son maître, ne broncha pas. Il s'assura au contraire que celui-ci fut bien compfortable avant de se recoucher en souhaitant la bonne nuit à son maître.